“Comme une pierre”, roman policier

Édition adaptée aux déficients visuels

en collaboration avec Alban Tessier

 

Couverture : Sarah Wodling, graphiste

Bonhomme de couverture :

Laurent Morville, artiste peintre

Format 21 x 29,7 cm 344 pages

EBOOK : 4€99

BROCHÉ : 12€50

 
 

Quatrième de couverture :

Comment se remettre de la violence reçue

lorsqu’on est témoin de la mort d’un homme ?

La police va enquêter, bien sûr,

fouiller là où on ne s’y attendait pas.

Comme une pierre tombée dans l’eau

dont les remous s’étendent de plus en plus loin du point d’impact,

l’instruction va révéler des secrets,

faire vaciller notre confiance en nos proches.

Mais il faut s’accrocher à l’amour que l’on a pour eux

et continuer de vivre, malgré les cauchemars et les doutes.

Car on ne peut éviter de se poser la question.

Jusqu’où est-on prêt à aller pour ceux qu’on aime ?

Pour surmonter cette épreuve, Lisa se réfugie dans l’écriture.

Elle passera de la peur à la colère, des larmes à la reconstruction,

sans pour autant parvenir au bout de ses surprises.

En parallèle, l’enquête de police suit son cours dans la ville de Meaux.

Le commandant Vanessa Livers et son équipe ne renonceront pas,

chercheront coûte que coûte à innocenter le coupable désigné

et à mettre la main sur le véritable meurtrier.

Édition adaptée aux déficients visuels

Lorsque j’ai publié mon roman, je voulais que ma maman,

qui est dyslexique, puisse le lire.

Aussi ai-je fait essayer plein de polices de texte,

de tailles de police et d’interligne par mes proches,

que je remercie beaucoup, pour trouver un bon compromis.

Et ma maman a pu lire mon livre !

 Puis, je me suis dit que je pouvais aller plus loin.

Je suis entrée en contact avec Alban Tessier,

ce grand sportif malvoyant qui a traversé en autonomie,

le plus grand désert salé du monde, le Salar d’Uyuni, en Bolivie.

Comme il est professeur de Braille et d’informatique adaptée,

il est habitué à fournir des textes lisibles pour ses élèves.

Sur ses conseils, j’ai commencé à travailler sur plusieurs chapitres

qu’Alban a fait tester par ses étudiants.

Avec leurs retours, j’ai continué l’adaptation.

Ne pouvant pas utiliser les coupures de mots en fin de ligne,

j’ai été obligée de reprendre mon manuscrit

pour vérifier que les mots d’une même ligne

ne présentent pas de trop grands écarts entre eux.

Si c’était le cas, je devais corriger.

Parfois, changer les mots de place a suffi à rééquilibrer les lignes.

Sinon, il a fallu trouver des synonymes plus longs ou plus courts,

retirer des termes, changer d’expression, récrire…

J’ai trouvé beaucoup de synonymes, repris beaucoup de passages.

Je n’ai pas compté le nombre de lignes.

Mais le roman contient 59 468 mots…

Mais ça y est ! L’édition spéciale de « Comme une pierre » est terminée.

Je souhaite de tout cœur que cette adaptation permette

à nos amis déficients visuels de retrouver le plaisir de lire.